Un peu de moi et beaucoup avec Vous
Pour économiser les mots, je vous renvoie vers mon site www.bomdiasonia.com crée lors de mon départ de la Belgique et vous en apprendrez déjà un peu plus sur moi.
Mais ici dans ces quelques pages je vais vous expliquer plus en détail ce qui me pousse à porter ce projet BOM DIA ALGARVE.
Impulser un changement, même infime, créer du neuf, rallumer les étoiles et croire que, même dans ce grand bordel que devient le Monde, il y des énergies prêtes à soulever les montagnes. Je n’ai encore trouvé rien de mieux pour continuer ma route.
J’aime travailler et vivre en solo mais j’apprécie aussi l’équipe et celle que j’ai réunie autour de moi me porte dans ce projet parce qu’elles, ils ont aussi l’énergie d’aller de l’avant et de défier ce fatalisme ambiant. Chacun suit sa route, la mienne est empreinte d’une devise » Si vous craignez l’aventure, essayez la routine elle est mortelle! »
C’est déjà arrivé, en 1996 pour la création de l’hôtel- restaurant à Chassepierre. Seulement, le duo de l’époque ne devait pas être le bon. Retour au métier de journaliste avec entre temps aussi une période comme « chargée de communication » avec de belles rencontres pour développer entre autre chose, les campagnes pour inciter les femmes à se battre contre le cancer du sein.
En 2011, je lance un concept très (trop ?) innovant à l’époque avec « Saveurs d’Ici et d’Ailleurs ». Le Terroir à l’honneur ! Cela m’a rapporté le prix de « Femme entrepreneur » de la Province de Luxembourg. Une anecdote parmi d’autres : avec mon fils aîné, Maxime et mon compagnon JP, nous avons étiqueté les produits jusqu’ à deux heures du matin. A 10h, le lendemain, je donnais ma conférence de presse pour lancer MON petit commerce « Saveurs d’Ici et d’Ailleurs ».
Quelle aventure ensuite que celle de continuer avec une superbe équipe de bénévoles pour « la Coopérative Saveurs d’Ici et d’Ailleurs ». Personne ne me croyait lorsque je disais que nous pouvions via cet outil, redonner goût au travail et à retrouver une vie sociale à des personnes qui étaient un peu perdues ou vivaient mal leur solitude. « La Coopérative » était un lieu sympa, accueillant, sans chichi, chaleureux mais sans la flambée des prix de l’assiette et du verre !
Les produits du terroir y avaient une large place et la mise en valeur des talents artistiques était un petit plus. Il y avait une ambiance comme nulle part ailleurs dans cette petite ville de Marche en Famenne. J’ai réussi mon pari. Oh, « pas longtemps » diront les méchantes langues, du genre de celles qui ne font rien mais critiquent et en retirent de la joie! Voir même une raison de vivre pour les cas désespérés!
Avec de petits moyens, de la détermination, le soutien et l’aide sans faille de mon ex-compagnon et de mes deux fils, avec les amis et les bénévoles, La Coopérative a été l’une des plus belles aventures de ma vie en Belgique ! Même si cela nous a couté en énergie, temps et argent. Toutefois, « Nul n’est prophète en son pays » et lorsque la maladie vous attend au tournant, il devient extrêmement difficile de trouver la force morale, physique et financière de poursuivre.
Il était temps de passer à autre chose mais encore une fois MERCI à celles et ceux qui ont vécu avec nous cette belle histoire.
Et maintenant ? Depuis toujours, j’aime voyager. Aller à la rencontre de l’Autre, de sa culture, de son mode de vie: voilà ce qui fait mon ADN ou presque. Je ne me suis pas trompée en choisissant ces études de journalisme. Juste que peut-être, j’aurais dû poursuivre mon objectif de départ à savoir : devenir reporter de guerre. Avec l’âge, les plans se modifient. J’ai quand même pas mal bourlingué grâce au boulot et à la Rtbf ! Sur les chemins de St Jacques, en Roumanie, au Portugal (et oui déjà !) en Italie, en Suisse, en France, au Guatemala, sur les routes du Tour de France, sur les bords de la Semois, sur les terrils de Charleroi, dans les rues de Namur et les forêts luxembourgeoises ; Les interviews d’élus et de recalés, d’étudiants, de chefs d’entreprise, de chômeurs, de syndicalistes, d’enfants et de grands-parents. Les prises d’otage, les manifs, les inaugurations, les grèves, les fermetures d’usines ; Les bateaux mouches, les touristes, les vendeurs de glace et de rêves, le manque d’eau, le trop de soleil (enfin en Belgique soyons honnêtes, pas souvent !) les soldes, l’arrivée des réfugiés, la vie dan sle sprisons, la construction de nouvelles maternités…
Les cabanes de misère, les palaces de luxe, la richesse des terrains de golf, la pauvreté des abris de nuits …. Un fabuleux puzzle que cette vie de journaliste pendant près de trente ans.
Depuis 2018 et le passage à la mise à la pension, ce métier reste inscrit en moi. C’est sans doute pourquoi aujourd’hui, je crée BOM DIA ALGARVE. Pour avoir le plaisir du partage de tout ce qui ici en Algarve mérite VOTRE attention.
ET le point magique c’est que vous allez en être les acteurs. Ces reprotages nous allons les vivre ensemble en choississant Bom Dia Algarve comme guide de vos vacances!
Désormais, ce blog sera celui de NOS découvertes : des falaises aux Musées, des églises aux ruelles témoins du passé, des vignobles et restaurants dénichés pour le plaisir de vos délicats palais.
Vous l’avez compris, si vous plongez avec nous dans cette Algarve vous allez faire le plein des meilleurs souvenirs de vacances. Alors, on plonge?
Les pages pour rire: François Reynaert : « Nos Amis Les Journalistes », roman comique publié chez Pocket.